· El «mètode d’Ollendorf» consisteix, segons
els diputats de les Corts Valencianes i referències que he trobat en Internet,
a fer respostes absurdes i que no tenen cap lligam lògic amb les preguntes; per
exemple: (http://www.laneta.apc.org/emis/docs/dialog.htm) «Lamentablemente,
pareciera que en el tema de la contaminación, las autoridades y la sociedad
están usando el método Ollendorf, aquel que enseñaba a preguntar: "¿Tiene
usted el pañuelo de mi tía?", y a responder: "No, pero tengo el
cuchillo del carnicero".». Pel que he trobat (veg. la referència de la
nota següent), la cosa sembla que s’origina en un mètode per a aprendre llengües
en poc de temps (com el Robertson d’alemany en quinze dies).
· Una referència (http://www.ugr.es/~jsuso/Publications/AVILA.htm):
«Ou encore, il s'agit d'un registre littéraire très spécial: le Nuevo
Método del Dr. Ollendorf... adaptado al francés por Eduardo Benot (1852),
reproduit en effet, à la fin de sa grammaire, une pièce de théâtre burlesque,
«comédie mêlée de chant en un acte», ou «zarzuela», de Mr. Rosier, intitulée Brutus,
lache César. Ce n'est pas le contenu «littéraire» qui a présidé au choix
de cette pièce (ou alors c'est son caractère d'«antilittérature»), mais les
besoins de la compréhension et la motivation des jeunes élèves. L'apprentissage
linguistique devrait sûrement bien fonctionner grâce aux situations drôles
contenues dans cette parodie (Brutus c'est un concierge, et César, c'est un
chien!). Et c'est en effet l'objectif linguistique qui est visé, à travers la
traduction, selon la méthode «récemment adoptée par une société scientifique de
Paris, qui consiste en deux traductions d'un même fragment, l'une juxtelinéale
littérale et l'autre libre ou selon le sens» (1852: «Arte de Traducir»,
Supplément ou 2è partie du manuel), qui nous rappelle la différentiation entre
version et traduction de P.N. Chantreau.»
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